Ces violences sont parfois le fait du conjoint, parfois de membres de la famille, et sont de nature diverse. « Il n'y a pas de spécificité sociale ou ethnique, il n'y a pas que des femmes battues, il y a des femmes qui sont amoindries suite à des années de violence psychologique » témoigne Natacha Zaepfel, directrice du CCAS, qui gère le lieu au titre de l’action sociale communale.
Cette position de coordinateur permet d’assurer la mise à l’abri de ces femmes en lien avec la réponse à leurs autres besoins : insertion professionnelle, accompagnement psychologique pour se reconstruire…