Le président de l’Unccas a ouvert la table ronde de la matinée, intitulée « 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝘃𝗶𝗹𝗹𝗲, 𝗮̀ 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗲𝗿𝘀 𝘀𝗼𝗻 𝗖𝗖𝗔𝗦, 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗮𝘂𝘁𝗼𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘃𝗶𝗼𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗳𝗮𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 ? ». Ce fut l’occasion de rappeler le rôle des CCAS et CIAS dans ce combat. Les échanges ont démontré la qualité de l’engagement des agents publics et des professionnels des associations.
L’Udccas a, quant à elle, évoqué le partenariat avec les communes de moins de 1500 habitants, comme l’un des axes de réflexions pour les 4 années à venir.
La journée s’est poursuivie par la visite de l’association Femmes Solidarité 91, qui a présenté les différents dispositifs et moyens d’action de l’association au niveau départemental : hébergement, réinsertion sociale, lieu d’écoute, d’accueil et d’orientation, formations avec des gendarmes et policiers. Une expertise précieuse que le CCAS peut solliciter pour des conseils ou lors de situations d’urgence, ainsi que pour la mise en place de formations à destination des agents communaux et bénévoles associatifs.
« Les Centres communaux d’action sociale sont en première ligne pour protéger les plus fragiles d’entre nous. En ces temps troublés, ce service public local a démontré sa robustesse il convient de le valoriser et le renforcer sans cesse. », Stéphane Raffali, maire de Ris-Orangis