26,7 % ont constaté une augmentations des demandes d'aides facultatives durant la période et, conséquence logique, cela s'est traduit pour 24,4% par des conséquences financières pour le CCAS/CIAS. 17 % pointent des difficultés d'organisation du travail durant la période et 15,1 % regrettent qu'elle ait été marquée par « Ttop d'informations provenant de sources [et] services différents ».
Ils sont 35,2 % à redouter une augmentation de la précarité sur le long terme, aggravée par des effets de non-recours aux droits. Pour y faire face 34,2 % souligne l'« importance d'un réseau renforcé et fiable de partenaires (en place localement sur certains territoires) en transversalité (sanitaire, social, médico-social, etc.) ».
Les commentaires libres laissés par les répondants témoignent d'une grande solidarité de la population des territoires concernés par l'étude, en milieu rural comme en milieu urbain. Eprouvés par la période, les CCAS ont vu leur fréquentation augmenter, mais aussi leur visibilité. Le rôle de soutien de l'Udccas 35 est, pour sa part, salué par 35,9 % des répondants.