Qu’attendez-vous du congrès de l'Unccas ?
C'est une occasion privilégiée pour partager des expériences et rencontrer divers acteurs à l’échelle nationale. C'est également une réelle opportunité de découvrir des projets novateurs tout en prenant en compte les particularités propres à chaque région géographique.
Que vous évoque la notion de "bien-vieillir" dans le secteur de l'action sociale ?
Selon ma perspective, il s'agit de la coordination d’actions de prévention impliquant des professionnels dans les domaines du soin, du numérique, de l'accompagnement, de l'animation… L'objectif principal est de prévenir et de favoriser l'autonomie des personnes âgées dans leur environnement. Elle vise à permettre aux individus de s'épanouir à tout âge.
A mon niveau, en tant que conseiller numérique, je participe activement à la lutte contre l’illectronisme des personnes âgées. Les usagers sont de plus en plus contraints de recourir au numérique pour accéder aux services administratifs, à la santé, aux transports ou aux loisirs. Si l’on ne veut pas voir les personnes âgées non connectées s’isoler davantage, il est indispensable de les accompagner dans la "prise en main" d’outils numériques.