Viennent ensuite dans ce classement peu joyeux, les risques de réputation (31%), les risques de perte de revenus (27%) et les risques d’accidents (10%). Les difficultés les plus courantes à la source de ces risques sont les difficultés avec un administré (79%), une difficulté environnementale ou sanitaire (60%) puis, presque à égalité, les difficultés liées à une entreprise ou une association (environ 47%).
Dans ces situations complexes et éprouvantes, les élus déclarent se tourner vers leur association d’élus ou leur avocat, dans les mêmes proportions, soit dans 36% des cas. Néanmoins 20% des élus ne font appel à aucun secours.
A la question, « Avez-vous le sentiment d’être suffisamment épaulé par les services de l’Etat ? », 61% des élus répondent par la négative.
De façon générale, 30% des élus estiment que le risque juridique peut être un frein à leur présentation à un mandat suivant.
Sommaire
- EDITO DE LUC CARVOUNAS : Pour une nuit de la solidarité concertée
- ON EN PENSE QUOI : Sous tension
- LA FABRIQUE : « Réussir en échouant »
- FOCUS : Le secret professionnel
- INTERVIEW : « Les élus face à la montée des agressions » Philippe Laurent, secrétaire général de l’association des Maires de France et des présidents d’Intercommunalités (AMF) et maire de Sceaux
- TEMOIGNAGE : Claire Delande-Cattiaux, maire de Cagnac-sur-Cère (Lot)
- CARENTAN-LES-MARAIS : une reprise, avec rigueur, de l’épicerie sociale
- BORDEAUX : Quand la sécurité repose sur la rigueur de chacun
- PLOUAY : Le positionnement délicat du mandataire judiciaire
- POITIERS : Un contrôle de légalité protecteur
- EUROPE : L’Europe sociale connaît un nouvel élan.
- JURIDIQUE : Responsabilité et ESMS