Dans les EHPAD, il s’agit dans 95,5% de cas d’atteintes aux personnes et non aux biens, et dans 59% des cas de violences physiques, et non verbales. Prudent face à ces constats, l’ONVS souligne que la progression peut indiquer une « propension à signaler » plus forte que l’année précédente, plutôt que des faits plus nombreux.
Le document témoigne enfin que malgré l’âge élevé des résidents, les actes violents ne sont majoritairement pas le fait des familles ou de l’entourage mais des patients eux-mêmes.
Photo : Stinging Eyes / Flickr