Selon ce travail, le phénomène s’explique par les nombreux départs en retraite de médecins, non compensés par les entrées en activité en raison du numerus clausus qui était alors en vigueur. Pour y répondre, l’étude préconise la libération de « temps médical utile » s’appuyant sur de nouvelles organisations territoriales et interprofessionnelles ou le recours au numérique.
Elle souligne aussi combien la question de l’accès au soin est liée, plus généralement, à l’aménagement du territoire, les zones les mieux dotées étant aussi les plus attractives en termes d’équipements sportifs, culturels, commerciaux et scolaires.
Image : Drees