« Dans un CHRS, il est généralement posé comme règle que la consommation, par exemple d’alcool, est interdite. Nous avons souhaité évoluer sur cette question, ce qui nous permet d’ouvrir le dialogue avec la personne concernée sur son addiction, en partenariat avec des associations spécialisées », explique Jean-Philippe Julo, directeur du CCAS.
Pour introduire ce changement de pratique, le CCAS s’est appuyé sur la dynamique de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) engagée dans le développement de la RdRD. « L’addiction reste une problématique complexe pour les personnes précaires et pour les travailleurs sociaux qui les accompagnent, avec des parcours rarement linéaires », souligne le directeur.
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